Les troubles psychosomatiques

Les troubles fonctionnels, des expressions d’un mal-être

Le champ des thérapies applicables aux troubles psychosomatiques, est vaste. À notre époque de communication instantanée et virtuelle, la vraie relation n’est – paradoxalement – pas plus simple, et nombre d’individus se sentent seuls, trop libres, abandonnés, rejetés. Certains ont besoin d’une aide temporaire, pour se rebâtir un profil social, dans le contexte professionnel ou même familial (cf. Thérapie brève (ou cognitivo-comportementale)).

Souvent ces individus ressentent aussi des troubles fonctionnels, sans toujours imaginer qu’il pourrait s’agir de manifestations psychosomatiques de leur mal être.

Les pathologies les plus courantes qui rentrent dans cette catégorie sont les pathologies fonctionnelles (c’est-à-dire les affections dont la cause n’est pas une lésion d’un ou plusieurs organes), comme :

• certaines rachialgies (certains maux de dos, notamment),

• certaines pathologies dermatologiques (certains eczémas, certains psoriasis),

• certains troubles digestifs,

• certains troubles de l’appétit (certaines anorexies ou boulimies),

• certaines dépendances (alcool, tabac),

• certains asthmes,

• la spasmophilie,

• certaines céphalées,

• certains syndromes dépressifs,

• certaines angoisses, certaines insomnies, apathies,

• certains troubles de l’identité ou du comportement.

Une aide psychologique complémentaire

Ces pathologies doivent bien sûr être soignées médicalement, mais le praticien MédiThérapeute peut proposer une aide complémentaire. S’il n’est pas lui-même médecin, il s’assurera – par des examens appropriés qu’il invitera le patient à faire pratiquer par un médecin – qu’il s’agit bien de pathologies fonctionnelles.

L’aide psychologique apportée peut alors – sur le moyen terme – favoriser la diminution des symptômes de certaines affections psychosomatiques classiques.

Une démarche personnelle est proposée aux patients, afin de les accompagner vers une meilleure connaissance d’eux-mêmes. Ils se positionnent ainsi plus efficacement par rapport à leur environnement, comprennent mieux s’ils sont appréciés, pourquoi, ce qu’ils pourraient vouloir améliorer…

Cette aide complémentaire peut aussi s’avérer bénéfique dans le cas de pathologies organiques, en complément de traitements classiques. Il est en effet généralement admis que les thérapies dites “complémentaires”, comme l’homéopathie, la phytothérapie, l’ostéopathie ou l’acupuncture, permettent une meilleure tolérance de certains traitements lourds (tels que radiothérapie ou chimiothérapie).

Philippe Lamy

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